Cette harmonisation vise à rétablir l’équilibre électromagnétique et informationnel des lieux.
Elle se passe en deux temps :
Elle se passe en deux temps :
- une analyse
- un rééquilibrage ou harmonisation
ANALYSE
L’analyse consiste à rechercher :
- les champs électromagnétiques naturels :
- failles sèches ou humides
- veines d’eau
- réseaux cosmo-telluriques (Hartmann, Curry, autres …)
- les champs électromagnétiques artificiels :
- champs basses fréquences du courant domestique et appareils électriques
- hautes fréquences des dispositifs sans fil de téléphonie, WIFI, TNT, antennes-relais, four micro-ondes …
Tous ces champs électromagnétiques sans exception sont susceptibles de perturber les êtres vivants. Et ceci en fonction de :
- la sensibilité des personnes exposées
- la durée et la fréquence d’exposition
- la puissance des champs
Pour mener à bien cette analyse, le praticien utilise des appareils de détection et de mesure :
- mesure de la prise de terre
- mesure des champs électriques et magnétiques
- mesure de la tension induite du corps
- mesure de la pollution de l’air
- détection de la présence de radon
Le praticien utilise également sa sensibilité radiesthésique au moyen d’autres outils :
- baguette de sourcier
- pendule
HARMONISATION
Suite à cette analyse, un protocole d’harmonisation est mis en place. Cette harmonisation consiste :
- à éliminer toutes les causes possibles
- déplacement des lits si positionnés sur les perturbations
- téléphones DECT
- WIFI
- à compenser les effets de celles qui seraient impossibles à éliminer, par tout moyen physique
- peintures anti-rayonnements
- tissus anti-rayonnements
- interrupteurs automatiques de champs
- à adjoindre un dispositif (EKIZONE), basé sur le principe des ondes scalaires, permettant de rendre les rayonnements électromagnétiques perturbateurs compatibles avec le vivant et de créer une zone d’équilibre dans tout son rayon d’action (60 m de diamètre sur plusieurs étages).
En cabinet, l’analyse et l’harmonisation des lieux se font sous la forme de « conseils pour l’habitat« .